Ci-dessus le document de nos débuts de recherches.
J’ai lu avec attention et intérêt les divers commentaires du blog VIVIANI-CORSE qui sont très intéressants et souvent passionnés.
J’aimerai apporter quelques éléments concernant la recherche italienne
Intéressé par la généalogie que je pratique depuis longtemps, j’ai en 1996 proposé à Camille de rechercher les origines du patronyme VIVIANI
J’en profite pour sortir de l’ombre celle qui n’est jamais cité et qui pourtant nous a aidé considérablement dans nos recherches, Françoise Lenoble-Viviani. Elle nous a donné de vive voix certaines informations et nous a fait rencontrer le maire adjoint de Marignana Claude Bernardet. Nos recherches à Marignana et aux archives départementales d’Ajaccio débutèrent donc en 1996, une autre personne nous a apporté son concours et sa grande connaissance du village, il s’agit du colonel d’aviation en retraite George Coppolani, rencontré un soir avec Camille, en sortant des archives départementales. Il a publié en 2001, une monographie des Coppolani à Marignana. Son grand oncle Xavier Coppolani, pacificateur de la Mauritanie, figure en bonne place sur la plaque commémorative dans le centre du village.
L’ancêtre Coppolani se prénommait Guglieno, né au environ de 1661 à Marignana, ancêtre des Massoni (filiation Angèle Massoni épouse de Théodosio Virgile)
En 1997 Marie-Hélène, Claude, Camille et moi sommes allés en Toscane à la découverte de Pescaglia, charmant village situé à 24 kms de Lucca, altitude 504 mètres, 3800 habitants. Nous avons apprécié le cadre de ce village qui ressemble tout à fait au paysage corse. Notre interprète Marie-Hélène nous a permis d’obtenir auprès du curé la copie de l’acte de naissance de Théodosio Virgile, l’état civil italien existe seulement depuis 1886, l’église assurait auparavant la tenue de registre.
Il existe un village Pietra-Sante voisin de Pescaglia, ou résident encore 34 familles Viviani.
Pour la petite histoire, il est possible que Théodosio Virgile connaissait Ange Davallé, premier mari d’Angèle, sentant sa fin prochaine, il aurait conseillé à Théodosio Virgile de venir en Corse, c’est une jolie supposition…….
J’aimerai apporter quelques éléments concernant la recherche italienne
Intéressé par la généalogie que je pratique depuis longtemps, j’ai en 1996 proposé à Camille de rechercher les origines du patronyme VIVIANI
J’en profite pour sortir de l’ombre celle qui n’est jamais cité et qui pourtant nous a aidé considérablement dans nos recherches, Françoise Lenoble-Viviani. Elle nous a donné de vive voix certaines informations et nous a fait rencontrer le maire adjoint de Marignana Claude Bernardet. Nos recherches à Marignana et aux archives départementales d’Ajaccio débutèrent donc en 1996, une autre personne nous a apporté son concours et sa grande connaissance du village, il s’agit du colonel d’aviation en retraite George Coppolani, rencontré un soir avec Camille, en sortant des archives départementales. Il a publié en 2001, une monographie des Coppolani à Marignana. Son grand oncle Xavier Coppolani, pacificateur de la Mauritanie, figure en bonne place sur la plaque commémorative dans le centre du village.
L’ancêtre Coppolani se prénommait Guglieno, né au environ de 1661 à Marignana, ancêtre des Massoni (filiation Angèle Massoni épouse de Théodosio Virgile)
En 1997 Marie-Hélène, Claude, Camille et moi sommes allés en Toscane à la découverte de Pescaglia, charmant village situé à 24 kms de Lucca, altitude 504 mètres, 3800 habitants. Nous avons apprécié le cadre de ce village qui ressemble tout à fait au paysage corse. Notre interprète Marie-Hélène nous a permis d’obtenir auprès du curé la copie de l’acte de naissance de Théodosio Virgile, l’état civil italien existe seulement depuis 1886, l’église assurait auparavant la tenue de registre.
Il existe un village Pietra-Sante voisin de Pescaglia, ou résident encore 34 familles Viviani.
Pour la petite histoire, il est possible que Théodosio Virgile connaissait Ange Davallé, premier mari d’Angèle, sentant sa fin prochaine, il aurait conseillé à Théodosio Virgile de venir en Corse, c’est une jolie supposition…….
Je me souviens de cette recherche de l'ancêtre Theodosio Viviani qui nous a menés tous les quatre à Pescaglia. Rencontre avec un jeune curé bourru qui nous a montré le vieux registre paroissial , de la visite au cimetière où fleurit, sur les tombes, le nom Viviani, de ce village haut perché, niché dans les arbres, de cette beauté sauvage qui rappelle celle de la Corse.
RépondreSupprimervous avez fini par me contaminer avec les origines italiennes, je suis allé regarder sur internet pescaglia,bien que je n'ai jamais fait l'effort d'y aller alors que je suis passé par l' autoroute à lucca, une bonne quinzaine de fois.Je savais que les viviani étaient du coin, mais c'est tout, cela ne m'a jamais plus intéressé que cela.Le seul détour que je fais est pour admirer la cathédrale de lucca en marbre noir et blanc, qui est une merveille, ainsi que le marché aux antiquaires,un dimanche par mois.Bref, de fil en aiguille, je recherche viviani et j'ai eu la grande surprise de trouver un gabriel viviani, baryton , qui se produit sur les plus grandes scènes mondiales,new york, covent garden, la fenice...
RépondreSupprimerQuelle émotion et quelle fierté pour moi, car je suis un fou d'opéra, baryton moi-même,ma passion
me pousse hors de corse tous les quinze jours pour aller à garnier et bastille, d'octobre à mars,nous sommes aussi allés avec carole au liceu à barcelone(deuxième meilleure salle apres la scala de milan), à gènes (tres belle salle), le hasard fait qu'à la fenice nous tombons toujours sur une periode de relache.Ce gabriel viviani chante en plus un de mes operas préférés: l'élixir d'amour.Vous pouvez l'entendre sur you tube.