lundi 30 août 2010

Café-bar LE CYRNOS à Vincennes (94)

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Le café-bar LE CYRNOS était situé à Vincennes (94) à peu près au 10 rue Victor Basch. Il appartenait à Virgile (124) et Anne-Marie les parents de Françoise (1242) depuis avant la guerre (Françoise complétera ou rectifiera…).

C'est en 1950 que mes parents Gabriel (1221) et Jacqueline le rachetèrent, j'avais 3 ans, j'ai été scolarisé dans l'école maternelle proche.

Nous y avons vécu 3 années, puis ce café fut revendu et nous partîmes à Charenton le Pont, de l'autre côté du bois de Vincennes.

                           
De Cyrnos Vincennes
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dimanche 29 août 2010

racontez vos souvenirs

Au stade où nous en sommes, je trouve que ce blog manque de souvenirs qu'ils soient partagés ou pas.Pour ma part, je n'ai pas connu mon grand-père virgile et de la fratrie initiale je n'ai cotoyé que tata jeanne.J'ai un vague souvenir de vos pères, mais j'étais vraiment enfant.La seule qui me reste en mémoire est tata Antoinette qui était adorable, j'aimais écouter les conversations qu'elle tenait avec sa belle soeur Anne-Marie, ma grand-mère.
A Marignana, ceux qui me reliaient à la famille Viviani étaient Dominique massoni et son frère Etienne.Les surnoms de ces deux frères évoquent beaucoup de choses, Dominique Massoni, nous l'appellions "bel enfant", il fut le temoin de notre mariage et son frère était désigné "charmant", certes il l'était et pas seulement avec la famille.Il y avait aussi Françoise et Marianne à Porto, qui elles aussi ,étaient les cousines germaines de nos grands-pères, elles débordaient de gentillesse.
J'ai eu le grand bonheur de faire la connaissance de certains d'entre vous quand vous êtes venus découvrir la terre de vos ancètres et de vous montrer le berceau de la famille, c'est ainsi qu'on appelle en Corse la maison d'où l'on sort.C'est une joie pour moi d'imaginer que l'année prochaine nous allons nous réunir et nous découvrir.Il me semble indispensable d'appeler à témoigner les plus anciens de notre branche sur l'histoire de ces frères Viviani, à savoir: tata Bertine la femme de Ferdinand, françoise ma mère, Jeanine ma belle mère; sur le sort qui les a unis dans l'exercice de leur métier de taxi dans les années trente et sur ce qu'ils sont devenus après.Pour exemple, je ne savais pas que les grands-parents de Claude avaient repris le café des miens à Vincennes.Pour savoir qui on est, il faut savoir d'où on vient.

vendredi 27 août 2010

merci à Diana

Grâce à Diana, la femme d'Ange Agostini, petit fils de Jesuald viviani, nous avons pu completer l'arbre généalogique.A l'heure d'aujourd'hui, selon Camille viviani,nous serions 160 descendants de Thedosio Viviani, dont une quarantaine de disparus.Nous comptons sur l'initiative de chacun afin de completer l'arbre et le rendre le plus exact possible