Au stade où nous en sommes, je trouve que ce blog manque de souvenirs qu'ils soient partagés ou pas.Pour ma part, je n'ai pas connu mon grand-père virgile et de la fratrie initiale je n'ai cotoyé que tata jeanne.J'ai un vague souvenir de vos pères, mais j'étais vraiment enfant.La seule qui me reste en mémoire est tata Antoinette qui était adorable, j'aimais écouter les conversations qu'elle tenait avec sa belle soeur Anne-Marie, ma grand-mère.
A Marignana, ceux qui me reliaient à la famille Viviani étaient Dominique massoni et son frère Etienne.Les surnoms de ces deux frères évoquent beaucoup de choses, Dominique Massoni, nous l'appellions "bel enfant", il fut le temoin de notre mariage et son frère était désigné "charmant", certes il l'était et pas seulement avec la famille.Il y avait aussi Françoise et Marianne à Porto, qui elles aussi ,étaient les cousines germaines de nos grands-pères, elles débordaient de gentillesse.
J'ai eu le grand bonheur de faire la connaissance de certains d'entre vous quand vous êtes venus découvrir la terre de vos ancètres et de vous montrer le berceau de la famille, c'est ainsi qu'on appelle en Corse la maison d'où l'on sort.C'est une joie pour moi d'imaginer que l'année prochaine nous allons nous réunir et nous découvrir.Il me semble indispensable d'appeler à témoigner les plus anciens de notre branche sur l'histoire de ces frères Viviani, à savoir: tata Bertine la femme de Ferdinand, françoise ma mère, Jeanine ma belle mère; sur le sort qui les a unis dans l'exercice de leur métier de taxi dans les années trente et sur ce qu'ils sont devenus après.Pour exemple, je ne savais pas que les grands-parents de Claude avaient repris le café des miens à Vincennes.Pour savoir qui on est, il faut savoir d'où on vient.
dimanche 29 août 2010
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En fouillant dans la maison de mes parents à Lailloux dans le Limousin, j'ai trouvé deux grosses boîtes remplies de photos : plus de 500 tirages papier et sans doute encore plus de diapos.
RépondreSupprimerCette découverte fut émouvante et nostalgique ; je vais peu à peu numériser celles qui me semblent les plus intéressantes.
Je commence ce soir avec celles du café CYRNOS (ça ne s'invente pas) à Vincennes dont tu parles ci-dessus, ce sont mes parents qui l'avaient repris à Virgile et Anne-Marie, en 1950.
merci beaucoup Claude, c'est effectivement émouvant et d'autant plus pour nous car nous avons des photos du même café du temps de mes grands parents.Il va falloir que je trouve une solution pour les mettre sur le blog
RépondreSupprimercyrnos et kalliste sont les deux noms de la corse hérités de l'invasion grecque, en fait kalliste est une déformation du mot kallitera qui veut dire"la meilleure" en grec.
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